What a HUGE city

Salut bande de rats des 4 coins du monde!

Vous l'avez souhaité très fort, je vous donne enfin de mes nouvelles. Ces premiers jours à NY ont été plutôt denses, alors je fais court, et vous fais part de mes premières impressions.
Arrivée samedi, après des tonnes de contrôles et de questions indiscrètes, je sors de l'aéroport sous une pluie torrentielle, ça klaxonnait de partout, un bordel monstre qui semblait me dire : bienvenue dans le New Jersey!
Dimanche petite descente à Manhattan (pour l'instant je suis à Brooklyn), je sors du "subway" et là, des immeubles immenses, tellement immenses que j'ai manqué tomber à la renverse, encore du bruit, encore des gens, des publicités, trop de trucs à voir!

New York est une drôle de ville, on y vend de tout, on y achète de tout, des mecs vendent leur corps dans la rue ou je ne sais pas trop quoi, tandis que d'autres mangent des fruits sur des bâtonnets (je ne sais pas pourquoi ça m'a marqué). On se croirait dans une immense fourmilière, sous la ville comme sur la ville. Et les gens sont pires qu'à Marseille! Ils traversent les rues n'importe quand, que le feu soit vert ou pas.
Toutes les nationalités, tous les styles, toutes les catégories sociales, se côtoient dans la rue et dans le subway. D'ailleurs si je me décide un jour à faire un blog, le titre ne serait finalement peut être pas "Sarah croque la grosse pomme", mais "Sarah prend le métro", car NY c'est tellement grand que je prends le métro tout le temps.

En total contraste avec l’animation du centre, Central Park, où je suis allée faire un tour lundi. C'est étonnant, car on entend plus les bruits de la ville, j'ai même vu des écureuils...

J’ai déjà visité quelques chambres, mais n’ai toujours pas trouvé de coloc, c’est la mouise, mais je ne désespère pas de trouver un truc correct.

Bref, je suis un peu perdue pour l’instant dans cette ville immense où je ne connais pas grand monde, et les gens parlent vraiment super vite alors je ne comprends pas tout, mais je suis déjà un peu plus newyorkaise aujourd’hui que la veille, pourvu que ça dure !